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Les ouvrages suivants, chacun dans sa matière, contribuent à conduire pas à pas vers l’autonomie recherchée.
Pourquoi ces ouvrages ?
L’enfant est comme une graine. Il est tout en devenir. Par son éducation il peut devenir soit un homme réfléchi capable d’autonomie, soit un homme plus porté vers l’intuition que vers la réflexion, et alors il est plus dépendant qu’autonome.
L’homme capable de reprendre sa pensée pour l’approfondir, pour en voir tous ses aspects, pour en évaluer les tenants et les aboutissants, est ouvert au sens critique et au dialogue. La raison arbitre ses choix, guide ses actions. Il peut ainsi maîtriser ses émotions, respecter l’autre comme lui-même. Il peut s’adapter aux changements. Mettre en harmonie ses pensées et ses actions avec les valeurs qu’il a choisies. Garder dans la durée ses engagements malgré la pression ou les tentatives de persuasion de son environnement. Il peut vivre dans une démocratie et l’aider à vivre.
A l’opposé, l’homme qui n’est pas suffisamment porté à la réflexion est en prise directe avec ses affects. Il est mal armé pour ne pas se laisser submerger par ses émotions, pour pouvoir résister aux influences de son environnement, pour gérer les changements. Il risque donc d’avoir beaucoup de difficultés pour faire des choix qui nécessitent une analyse personnelle, et pour tenir ses engagements. Il n’est pas bien armé pour faire face aux pressions et aux manipulations. La dépendance le guette.
Nous le concevons aisément, une société où dominent les dépendants, se gère plus facilement par les apparences et les promesses que par la raison.
La note « Pour construire des êtres autonomes » résume en une dizaine de pages ce que, pensons-nous, devraient faire les éducateurs pour y parvenir.
Les exercices proposés sont axés sur l’ouverture aux perceptions conscientes grâce à la parole et l’analyse. Ils développent attention, concentration et mémorisation à long terme. Ce travail est efficace pour tous et indispensable pour les personnes qui ont souffert dans leur corps, dans leurs affects, ou qui ont pâti d’un mauvais accès aux apprentissages de base.
Les personnes qui ont effectué un long séjour en hôpital, ou qui ont subi un choc quelconque ont peu à peu replié leurs antennes pour éviter de souffrir davantage. Dans certains domaines, elles risquent alors de rester dans une sorte de bulle. Sans réouverture à leurs perceptions conscientes, elles resteront fermées au monde et ne pourront pas redémarrer correctement dans la vie.
L’objectif de ce dossier est de faire assimiler les bases de l’arithmétique, de la géomètrie, de la trigonométrie, de l’algèbre et de la statistique. La démarche utilisée est le résultat de 25 années de remédiation auprès d’enfants et d’adultes simplement fâchés avec les mathématiques ou vraiment dyscalculiques. Elle est très progressive et s’appuie constamment sur des manipulations.
Comment la France, berceau des Lumières, peut-elle avoir actuellement 40 % d’illettrés ? L’auteur qui s’est spécialisée dans l’aide aux personnes en difficultés d’apprentissage, a maintenant consacré trente ans de recherches à cette question. Son ouvrage, très documenté, est le produit d’un va-et-vient constant entre études de cas, pédagogie et biologie. Il nous démontre, preuves à l’appui, les dangers des méthodes illusionnistes progressivement mises en place depuis le plan Langevin/Wallon.
Lire, écrire, réfléchir, ce sont les clés de l’ouverture de l’être au monde. Ces apprentissages fondamentaux se doivent d’être accessibles à tous les enfants, indépendamment de leur mémoire visuelle. C’est pourquoi cette méthode alphabétique, associant la parole à l’écoute, la vue et les gestes de l’écriture consciente débouche très vite sur la recherche du sens.
Apprendre à ses élèves à écrire demande beaucoup de temps de préparation pour le maître dès qu’il en a plus de dix.
Ce cahier a été conçu pour apporter aux maîtres et aux parents l’aide dont ils ont besoin afin qu’ils puissent s’occuper de tous et de chacun.
Il met en place tout ce qu’il convient de faire pour faciliter la mise en place de l’écriture consciente.
Quelle joie d’entendre l’élève dire : « En faisant comme ça c’est facile, mon écriture coule ».
Cet ouvrage est dans la lignée de ceux d’Elisabeth Vaillé-Nuyts. Partir de la réalité, en faire une analyse fine, percevoir la logique des enchaînements, en induire une loi, est le cheminement suivi. La physique s’y prête parfaitement. Elle permet en sus, grâce à l’expérimentation, de faire de la confirmation de la nature un préalable à toute loi.
Je voudrais partager avec vous quelques unes de mes réflexions. J’ai donné à mes écrits une forme poétique parce que la poésie invite à la concision, à la précision et à l’élégance. Cette dernière n’est pas évidente car n’est pas poète qui veut. J’ai quand même essayé. Quand l’inspiration m’est venue j’ai associé à certains de mes écrits quelques dessins évocateurs.
Différentes notes :
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Pratiques à éviter pour nos enfants
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Orthographe non grammaticale
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Recueil de belles citations
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L'espace et le temps dans notre enseignement
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Comment construire des êtres autonomes et responsables
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Violence dès l'enfance en France
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Phrases loufoques
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Jeu de puzzle en bois